PSG : Pato, lautre élément décisif pour Tévez
La rédaction

Carlos Tévez semble de plus en plus proche du Milan AC. Il ne manque plus que l'accord de Manchester City. Après Antonio Cassano, Alexandre Pato pourrait à son tour faciliter son arrivée dans le club lombard.

Entre le Milan AC et le PSG, Carlos Tévez semble avoir fait son choix. Ce sera le club rossonero et rien d’autre. Selon La Gazzetta dello Sport, l’attaquant argentin aurait même clairement dit non au PSG. Désormais, il ne manque plus que l’accord de Manchester City pour finaliser le transfert. Mais ce n’est pas gagné d’avance… Une chose est sûre, au Milan AC, tout est fait pour faciliter son arrivée. Toujours convalescent après son opération du cœur, Antonio Cassano lui a déjà libéré une place, malgré lui. En panne de confiance, Alexandre Pato pourrait lui en libérer une autre. Cantonné au banc depuis le début de saison, le Brésilien, petit ami de Barbara Berlusconi, la fille de Silvio, enchaîne les pépins physiques et son entente avec Zlatan Ibrahimovic laisse à désirer. Il n’entre surtout plus dans les plans de Massimiliano Allegri, l’entraîneur milanais, qui se plaint de son attitude trop solo sur le terrain selon le quotidien Sport.

Les jours de Pato sont comptés

Adriano Galliani, le vice-président lombard, a beau lui avoir réitéré sa confiance hier au micro de Sky Sports, ses jours à Milan semblent comptés. « Pato ne vit pas un moment très brillant, mais Pato reste Pato, il marque près d'un but tous les deux matches. Il est né en 1989, il est encore très jeune mais a marqué tellement de buts, a-t-il déclaré. En ce moment il n'est pas au mieux mais le meilleur est sûrement à venir. Allegri gère extrêmement bien ses joueurs. Je suis convaincu qu'à la fin de la saison, on constatera qu'il aura eu son rendement habituel. Il n'existe pas de problème Pato. » Des propos très flatteurs, mais en réalité, il en est tout autre chose. Le malaise Pato est bien présent au Milan AC, et l’arrivée de Carlos Tévez, fortement souhaitée par le club lombard, pourrait encore un peu plus reléguer le Brésilien. Voire l’obliger à partir.

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