Interrogé par l’hebdomadaire l’équipe mag, Johnny Wilkinson se confie comme rarement fait auparavant. Ce dernier se livre sur sa dernière coupe du monde, son acclimatation en France, ou encore de sa nouvelle responsabilité en tant que capitaine de la formation toulonnaise, mais l’anglais ne se prive pas pour tacler le meilleur joueur de football au monde.
Dans cet entrevue, le néo-retraité souligne l’importance des structures d’un club à l’équilibre d’un joueur, « Il faut avoir les valeurs, le respect et un cadre un peu strict. Mais le système doit en même temps laisser la possibilité à l'individu d'exprimer sa personnalité (...) Chacun dispose du même cadre, mais chacun peut être différent à l'intérieur du cadre. » La meilleure illustration selon lui ? Léo Messi au Barça. Wilkinson considère que l’argentin « dispose d’un cadre extraordinaire, en ajoutant, cela ne fonctionnerait pas si on laissait Messi sans structure, comme c’est le cas dans l’équipe nationale argentine, avant de conclure sur ce sujet, les gens se disent qu’il n’est pas en forme ou formulent d’autres hypothèses, mais la vraie raison, c’est simplement l’absence de structure ».
Une analyse riche d’enseignements de la part du meilleur marqueur de l’histoire en sélection.