Football
Mercato : «Ahurissant», le nouveau boss de l’ASSE se fait dézinguer !
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Propriétaire de l'ASSE depuis quelques semaines, le groupe canadien Kilmer Sports Ventures traverse sa première crise sportive. Le club stéphanois s'est lourdement incliné sur la pelouse de l'OGC Nice ce vendredi (8-0). Légende des Verts, Jean-Michel Larqué n'a pas caché sa colère après cette déroute et a pointé du doigt le recrutement réalisé cet été.

Sur les bords de la Méditerranée, l’ASSE a pris l’eau face à l’OGC Nice ce vendredi soir, en ouverture de la cinquième journée. Au terme de la première période, le groupe stéphanois était déjà mené de six buts, du jamais-vu dans l’histoire de la Ligue 1. La seconde a été toute aussi médiocre. Résultat, une défaite humiliante pour le groupe d’Olivier Dall’Oglio, méconnaissable et qui poursuit son début de saison catastrophique. Au micro de RMC, Jean-Michel Larqué manquait de mots pour décrire la prestation de l’ASSE.

« J'ai honte et j'ose espérer qu'ils ont tous honte. C'était ahurissant, inadmissible. L'an dernier, l'ASSE est montée en L1 à la force du poignet, avec une certaine réussite. Mais sa cellule n'a pas donné satisfaction et elle a continué à œuvrer» a-t-il confié sur RMC

Selon lui, les mauvais résultats enregistrés ces dernières semaines ne sont que la cause d’un recrutement raté. Beaucoup de recrues n'auraient pas le niveau pour évoluer en Ligue 1. « Je n'ai rien contre Perrin, Rustem. Je n'ai rien contre Kilmer. Mais honnêtement, ce recrutement... Des équipes de L2 comme Bastia ou Pau n'auraient jamais pris 6 buts en une mi-temps à Nice. A l'ASSE, il n'y a rien. Rien. On ne peut pas accepter ça. Quand un président est absent 29 jours sur 30 ou 30 jours sur 31, ça ne peut pas marcher. J'ai entendu "il faut qu'ils vendent, il faut qu'ils vendent” » a confié Larqué ce vendredi soir.

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