Football
OM - De Zerbi : «Très exigeant», un joueur balance !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Cet été, l’Olympique de Marseille a fait fort en attirant Roberto De Zerbi. Depuis, douze renforts ont posé leurs valises dans la cité phocéenne, à l’instar de Lilian Brassier, présent en conférence de presse ce vendredi avant l’Olympico face à l’OL dimanche. A cette occasion, l’ancien Brestois est revenu sur la méthode de l’Italien.

Avec Adrien Rabiot, recrue surprise de la semaine, l’Olympique de Marseille a accueilli douze nouveaux joueurs pour cette saison, mais le renfort le plus important se trouve sûrement sur le banc de touche avec Roberto De Zerbi. Alors qu’il a joué un rôle décisif dans certains dossiers du mercato, dont celui concernant le joueur formé au PSG, l’Italien a été nommé pour aider l’OM à se reconstruire après un exercice très compliqué sur et en dehors du terrain. Au sein du vestiaire, les joueurs semblent déjà conquis.

Présent en conférence de presse, Lilian Brassier s’est prononcé sur ces premières semaines de travail avec l’ancien technicien de Brighton. « On a de la liberté, c'est à nous de juger sur le terrain. De Zerbi nous demande d'avoir confiance, qu'on soit pressé ou non et de nous imposer. Cela nous ouvre esprit. On fait plus de choses et on est plus important dans l'équipe. En tant que défenseur, je touche plus de ballons que la saison dernière. Il y a plus de responsabilités », confie l’ancien Brestois.

Lilian Brassier ajoute, rapporté par RMC : « C'est un bon début de saison. Avec le temps, on va assimiler plus de choses, il y a pas mal de schémas tactiques. Le coach est très exigeant. A domicile ou à l'extérieur, on a produit de belles choses, on a montré qu'on pouvait faire pas mal de dégâts. »

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