Comme beaucoup avant et après lui, Robert Pirès a été démarché à la fois par le PSG et l’OM sur le marché des transferts. Le champion du monde et d’Europe a tranché en faveur de l’Olympique de Marseille pour des raisons précises qu’il a dévoilé pendant le live Twitch Zack en roue libre avec le streamer Zack Nani.
Entre l’OM et le PSG, c’est la guerre depuis des décennies. Historiquement parlant, ils sont une poignée à avoir joué à la fois à l’Olympique de Marseille et au Paris Saint-Germain. Il est également reconnu que les deux clubs ont tenté de recruter le même joueur. Et ce fut le cas de Robert Pirès.
Le mercato de l'OM débloqué par l'ASSE ? https://t.co/5D0rqGiLyS pic.twitter.com/Il3jpliJQ4
— le10sport (@le10sport) July 28, 2024
À l’été 1998, en parallèle du titre de champion du monde remporté par Robert Pirès avec l’équipe de France, le PSG et l’OM se sont disputés les services de l’icône d’Arsenal. « Pour moi c’était la suite logique de rester en France. J’avais envie de rester en France et puis surtout de jouer dans un club mythique comme l’Olympique de Marseille. J’avais le choix entre Monaco, Marseille et le PSG. Monaco, c’était Arsène Wenger qui me voulait déjà à l’époque, mais bon Monaco, en terme d’ambiance, je n’étais pas trop fan ». a confié Pirès à l’occasion de son passage sur Zack en roue libre sur Twitch.
Relancé par le streamer Zack Nani sur la raison de son choix de privilégier l’OM plutôt que le PSG, Robert Pirès a souligné la détermination des décideurs de l’Olympique de Marseille de l’accueillir. Ce qui a définitivement fait pencher la balance en faveur du club phocéen. « Après, j’ai choisi Marseille parce qu’à plusieurs reprises, j’ai rencontré Rolland Courbis et Robert Louis-Dreyfus. Ils sont venus me voir, on a discuté, les deux clubs se sont mis d’accord. Ça a coûté un peu d’argent, 60 millions de francs, ce qui était pas mal. Aujourd’hui c’est rien, c’est 10-11M€. Marseille, j’avais envie de connaitre, surtout par rapport à la pression. J’avais envie de connaitre autre chose. J’ai kiffé l’ambiance à Metz, mais l’étape supérieure, c’était Marseille. J’avais que des bons souvenirs là-bas, c’était logique après Metz ».