Durant la présidence de Michel Denisot, des personnalités du PSG ont organisé plusieurs matchs avec des personnalités et des journalistes. Invité pour ces rencontres, Pierre Ménès a lâché plusieurs anecdotes croustillantes, dont une impliquant Ricardo. En effet, l'ancien coach du PSG aurait réalisé une énorme faute sur Eric Salliot.
Lorsque Michel Denisot était le président du PSG (1991-1998), des matchs amicaux étaient organisés avec des personnalités du club, des célébrités et des journalistes. Ayant participé à ces rencontres, Pierre Ménès a raconté quelques anecdotes amusantes dans une vidéo postée sur sa chaine YouTube Pierrot Le Foot.
«Il y a un match en Grèce où Ricardo jouait»
Dans un premier temps, Pierre Ménès est revenu sur un duel hilarant avec Michel Denisot, qui était pourtant l'arbitre de la rencontre. « Je suivais à l’époque le PSG en Coupe d’Europe, et dans les déplacements, il y avait un match qui était organisé entre les journalistes et le PSG, c’est à dire les dirigeants, l’entraîneur et parfois même le joueur qui était 16e ou 17e (dans la liste de l'effectif. Il n'était donc pas sur la feuille du match). Le premier match que j’ai fait, c’était à Glasgow avec Jean-Jacques Goldman, et le fils de Goldman marque un but. Goldman me regarde et fait : "bah je croyais que tu travaillais tes matchs toi". (...) On m’avait prévenu qu’en général (Michel) Denisot arbitrait et trichait de façon éhontée. Et d’ailleurs, à un moment donné, il y a une passe en retrait mal assurée pour le gardien, je vais pour marquer dans le but vide, et Denisot passe devant moi, me bouscule et me dit : "pardon". Du coup je n’ai pas pu marquer. C’était très rigolo », a déclaré le journaliste français.
L'énorme faute de Ricardo lors d'un match
Dans un second temps, Pierre Ménès s'est prononcé sur Ricardo. Selon ses dires, l'ancien coach du PSG a réalisé une terrible faute sur Eric Salliot lors d'un match. « Il y a un match en Grèce où Ricardo jouait, il était entraîneur à l’époque. Et il met un attentat comme seul lui sait les mettre (…) Donc il y avait le cadavre d’Eric Salliot qui gisait au sol, et Ricardo me fait "il travaille où lui ?". Je fais "à France Soir", et il répond "ah bah c’est pas grave" », a raconté le journaliste français.