«Je suis sûr que l’OM va m’appeler» : Signature décisive à Marseille, il raconte tout !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Après des passages à Newcastle, l’Atalanta Bergame, la Juventus ou encore le FC Valence, Pablo Longoria a rejoint l’Olympique de Marseille, d’abord comme directeur sportif avant d’en prendre la présidence quelques mois plus tard. Une arrivée soupçonnée et espérée par le dirigeant espagnol, désireux de changer d’air à cette époque.

Président de l’OM depuis février 2021 et le départ de Jacques-Henri Eyraud, Pablo Longoria a entamé sa mission dans la cité phocéenne quelques mois auparavant. En juillet 2020, l’Espagnol fut en effet choisi pour succéder à Andoni Zubizarreta comme directeur sportif. Une arrivée espérée par le principal intéressé, convaincu qu’il serait choisi à ce poste.

« Je voulais la France ou l’Allemagne »

Invité de l’émission Zack en Roue Libre ce lundi soir, Pablo Longoria est revenu sur sa signature à l’Olympique de Marseille. « Tous les matins, je lis toute la presse internationale. Et j’avais un peu vu la situation de Zubizarreta à l’OM, et j’avais dit à tous mes proches : ‘je ne sais pas pourquoi, mais je suis sûr que l’OM va m’appeler’. Je ne voulais pas travailler en Espagne, je voulais la France ou l’Allemagne car je voulais faire le top 5 comme plan de carrière », confie le boss de l’OM.

« C’était devenu une priorité »

« Ça m’intéressait, mais je n’ai pas fait de mouvement jusqu’à ce qu’un chasseur de tête responsable pour le recrutement m’a appelé, poursuit Pablo Longoria. Je l’avais senti, à l’époque j’avais des offres de Premier League, dont un club important pour être DS, mais j’aime la passion autour du football. Je préférais voir un peu plus le soleil comme à Valence. Pour moi, c’était devenu la priorité. »

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