Alors que Neymar tente de quitter le PSG pour rejoindre le FC Barcelone, Lionel Messi ferait également le forcing en Catalogne pour que le retour de son ami se réalise, au point de mettre une forte pression à Josep Maria Bartomeu.
L’idylle entre le PSG et Neymar pourrait ne durer que deux années. Recrutée en 2017 pour 222M€, la star brésilienne en a assez de sa vie parisienne et souhaiterait vivement retourner au FC Barcelone. Un transfert qui pose toutefois des problèmes du côté des Blaugrana. En effet, le Barça ne dispose pas des ressources nécessaires pour convaincre le Paris Saint-Germain, et le retour de Neymar ne ferait même pas l’unanimité en interne. Il faut dire que l’attaquant auriverde a quitté le FC Barcelone en mauvais termes, mais Neymar peut en tout cas compter sur le soutien de Lionel Messi comme l’explique Graham Hunter, expert du marché espagnol sur le podcast Transfer Talk de Sky Sports.
« Messi veut récupérer Neymar »
« Messi est un acteur central dans tout cela. Il n'est pas un joueur capricieux, les gens l'ont décrit comme tel à tort. Mais quand il éternue, Barcelone attrape un rhume. Bartomeu, le président, a dit qu’avant de partir - et il doit quitter le club en 2021 au plus tard - il voulait prolonger Messi une dernière fois. Que Messi dise : "Appelez-moi Neymar" ou qu'il chuchote : "Avant que nous nous asseyions pour négocier, je veux que la ligne d’attaque soit renforcée avec Neymar", le fait est : Messi veut récupérer Neymar. Lui, Suarez et Neymar, même si ce sont des personnages différents, sont très amis. Messi a trouvé un partenaire qui le comprenait techniquement, qui le servait et qui créait des masses d'espace. La dernière fois que Barcelone a gagné le triplé, il y avait la "MSN" en attaque. Il est clair que Messi pense que le succès en Ligue des Champions n’est pas seulement dû à Neymar en particulier, mais plus à la présence de joueurs supplémentaires capables de marquer des buts autour de lui. Messi dit : "Si tu veux que je signe un nouveau contrat, reprends d'abord Neymar." », explique Graham Hunter.