Où en sont les recherches de Vincent Labrune ? S’il a confirmé avoir contacté André Villas-Boas avant qu’il s’engage au Zenit, le doute persiste autour des autres noms.
« André, c'était vraiment du très, très haut niveau. Nos discussions et sa vision sur l'OM, ces prochaines saisons, me l'ont confirmé. Il y a un mois, la balle était dans mon camp. Il avait consenti des efforts mais ça s'est joué sur un arbitrage financier et un mauvais timing ». Après que Vincent Labrune ait expliqué l’échec du dossier Villas-Boas, priorité comme nous l’avions révélé, L’Equipe a évoqué les autres pistes dans la course à la succession de José Anigo.
SPALLETTI UN NOM EN MOINS ?
« Les pistes évoquées jusqu'ici, comme celle menant au Roumain Mircea Lucescu (Chakhtior Donetsk), se sont toutes révélées sans issue pour l'instant » indique le quotidien ce jeudi. Toujours en quête d’un « entraîneur étranger de renom »,Vincent Labrune n’aurait pas écarté la piste menant à Eric Gerets, qui serait lui favorable à un retour à l’OM. Quant à l'Italien Luciano Spalletti, congédié du Zénith Saint-Pétersbourg, le 10 mars, il ne ferait pas partie des plans du président olympien.
GIULY ÉTAIT EMBALLÉ PAR SPALLETTI
Récemment, Ludovic Giuly voyait pourtant d’un bon oeil l’arrivée de l’Italien sur le banc olympien : « C'est un entraîneur avec beaucoup de caractère. Un travailleur. Pour Marseille, il va chambouler pas mal de choses. Il ne se laisse pas faire, quand ça ne va pas aller, il va le faire savoir. Ça n'a rien à voir avec les entraîneurs français qu'on a. Dans un vestiaire, c'est quelqu'un de très exigeant par rapport à son système de jeu et quand il doit gueuler, il gueule »