Alors que Zlatan Ibrahimovic n’en finit plus d’affoler les statistiques, Pascal Praud et Denis Balbir se sont interrogés au sujet du Suédois. Est-il le meilleur joueur de l’histoire de la Ligue 1 ?
Zlatan Ibrahimovic force plus que jamais l’admiration. Pour Yahoo Foot, Pascal Praud a fait l’éloge de l’attaquant du PSG qui est selon lui le meilleur joueur de l’histoire du championnat. « Être meilleur passeur et meilleur buteur c’est extrêmement rare. Dans l’histoire je pense que c’est assez rare. Je pense que c’est le meilleur joueur de l’histoire de la Ligue 1. »
« IBRAHIMOVIC, ON EN PARLERA ENCORE DANS 20 ANS »
« Quand Platini jouait en Ligue 1, il n’était pas le Platini de la Juventus. De la même manière que quand Zidane évoluait à Bordeaux, il n’était pas le Zidane de la Juve. Est ce qu’ils étaient plus forts qu’Ibra lorsqu’ils évoluaient en Ligue 1 ? Il a une dimension et le public le sent bien, a ajouté Pascal Praud. Lorsqu’il est blessé en fin de match le stade s’arrête et même Laurent Blanc. Il a un charisme et des statistiques incroyables. Il est unique. Il a quelque chose de magique et on en parlera encore dans 20 ans. Le Ballon d’Or ? C’est une année de Coupe du monde, alors si Cristiano Ronaldo fait un gros Mondial ou Lionel Messi gagne la Coupe du monde, ça va être compliqué. »
« LA FAÇON DONT LE PUBLIC RESPIRE AVEC LUI… »
« Zlatan Ibrahimovic, il a de la réussite. Il évolue dans une grosse équipe avec de très grands joueurs à côté de lui. Alors que Platini et Zidane surnageaient au milieu de très bons joueurs mais pas des joueurs d’exceptions. Là tu as quand même des Cavani, des Verratti, tu as Thiago Motta, Matuidi. Lui, son boulot, il marque des buts. Actuellement au PSG toute l’équipe est très forte donc il profite de cette force collective pour marquer des buts, a justifié Denis Balbir. Paris cette saison se ballade avec Ibra. C’est devenu un dieu, une icône pour le public. La façon dont le public respire avec lui et vit son match. Pour moi actuellement en Europe il n’y a pas mieux qu’Ibrahimovic mais l’année prochaine on ne sait pas ce qui peut se passer. Il faut de la constance. »