Top 14 : Il annonce la couleur avant son duel face à Antoine Dupont
Thibault Morlain

Ce samedi, le deuxième du Top 14 va affronter le troisième. Une affiche entre le Stade Toulousain et le Racing 92 qui donnera lieu à de très beaux duels sur la pelouse. Cela va notamment être le cas au poste de demi de mêlée avec Antoine Dupont face à Nolann Le Garrec. Un futur adversaire sur lequel s'est prononcé le numéro 9 du Racing 92.

Avant sa demi-finale de Champions Cup face aux Harlequins, le Stade Toulousain va devoir se frotter à un adversaire assez coriace en Top 14. En effet, ce week-end, la bande à Antoine Dupont accueille le Racing 92. Une affiche du championnat de France qui va opposer le deuxième au troisième du classement. Présent pour ce choc face à Toulouse, Nolann Le Garrec sera notamment opposé à Antoine Dupont dans un duel de numéro 9.

« Affronter Antoine, c'est affronter le meilleur joueur au monde »

Alors que le Racing 92 a déjà affronté le Stade Toulousain à deux reprises cette saison, Nolann Le Garrec était à chaque fois absent. Ce week-end, le demi de mêlée francilien sera bien présent et il aura notamment face à lui un certain Antoine Dupont. Rapporté par L'Equipe, Le Garrec a confié avant d'affronter celui qu'on annonce comme l'un des meilleurs joueurs du monde : « Affronter Toulouse, c'est une excitation en soi. Parce que c'est l'occasion de jouer à nos postes ce qui se fait de mieux. C'est un beau défi contre une équipe qui est au sommet depuis des années. Affronter Antoine, c'est affronter le meilleur joueur au monde. C'est vrai qu'il y a de sacrés duels contre ce genre d'équipe. Mais le rugby, ce n'est pas du un contre un. Si on veut faire un résultat à Toulouse, il faudra que toute l'équipe soit ultra-performante et donc que j'arrive à bien faire jouer l'équipe ».

Une revanche à prendre pour Le Garrec

Le 7 avril dernier, Nolann Le Garrec avait donc manqué le match de Coupe des Champions entre Stade Toulousain et le Racing 92. Une absence qui lui reste quelque peu en travers de la gorge : « J'étais très frustré. J'ai vécu dix jours compliqués. Parce qu'une commotion est une blessure invisible et que physiquement, je me sentais prêt. Maintenant, avec le recul, je réalise que je n'étais dans un état optimal pour jouer ce jour-là. Je pense que c'était bien de s'abstenir. Il ne faut jouer avec son cerveau. Je sortais du Tournoi avec l'équipe de France, j'ai pu me régénérer ».

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