Arrivé au Paris Saint-Germain en 2012, Marco Verratti était visé par plusieurs grands clubs italiens…qui ont pourtant laissé la pépite s’échapper.
Marco Verratti a été une véritable révélation. Nombreux étaient ceux qui s’interrogeaient sur l’arrivée de ce milieu de 19 ans, pour une somme oscillant autour des 12M€, en provenance d’un modeste club de deuxième division italienne. Deux saisons plus tard, le natif de Pescara a mis tout le monde d’accord et s’inscrit comme l’un des futurs grands milieux de terrain d’Europe. Désormais, tous félicitent le PSG, qui a eu le nez creux en recrutant le jeune transalpin, en le soufflant au nez et à la barbe des cadors de Serie A.
VERRATTI, IMMOBILE, CERCI…L’ITALIE ET LA FUITE DES TALENTS
Car que ce soit la Juventus, le Napoli ou l’AS Roma, tous étaient très intéressés par le profil de Marco Verratti. Le Paris Saint-Germain a finalement battu la concurrence et a su s’adjuger la signature du futur prodige de la Squadra Azzurra… Une perte énorme pour les clubs transalpins, selon le défenseur de l'AS Monaco, Andrea Raggi : « Je ne comprends pas comment les clubs italiens ont pu laisser s’échapper Verratti » a confié le défenseur de l’AS Monaco, dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. « Quand je vois Ciro Immobile, Marco Verratti et Alessio Cerci, je ne comprends pas pourquoi nos clubs italiens n’y ont pas cru. Cependant, l’expérience étrangère est toujours positive et je la conseille à tout le monde. Il peut enrichir notre football italien et notre sélection nationale ».
VERRATTI AVAIT UN ACCORD AVEC LA JUVENTUS AVANT DE REJOINDRE LE PSG
Récemment, l’agent de Marco Verratti était revenu sur le départ de son protégé au Paris Saint-Germain. Au micro de Sky Sports il avait assuré que le joueur avait conclu un accord avec la Juventus à l’été 2012, avant de finalement y repenser et signer pour le club de la capitale. Le motif ? Un projet plus ambitieux, des meilleures assurances de jeu, un plus grand salaire et un statut de futur prodige que les champions d’Italie auraient eu du mal à lui accorder… Surtout quand on connaît le peu de place que laissent les écuries italiennes aux jeunes.