Armstrong a 30 jours pour se décider
La rédaction

Accusé d’avoir eu recours au dopage à plusieurs reprises durant sa carrière (entre 1996 et 2011), Lance Armstrong ne sait pas encore s’il acceptera les sanctions imposées par l’Agence américaine antidopage (Usada) ou s’il fera appel à un arbitre pour relancer l’affaire. Pour le contraindre à se décider, l’Usada a fait parvenir ce mercredi un communiqué et lui impose désormais un ultimatum : « L'Usada a accordé à M. Armstrong une courte extension allant jusqu'à 30 jours pour se défendre des accusations de dopage, le temps pour le tribunal de rejeter la plainte sur le fond ou de prendre une décision préliminaire», a indiqué dans ce communiqué Travis Tygart, le président de l'Usada. Le coureur américain risque la radiation à vie et la perte de ses titres dans cette affaire et a dénoncé auparavant une « vendetta » dont il ferait l’objet.