Basket - Diot : « C’était la guerre »
La rédaction

Tombeur de Paris-Levallois mardi (75-58), Strasbourg a mené un véritable combat comme l’explique son meneur Antoine Diot : « On s'est fait dominer physiquement en première période. C'est ça qu'on a réussi à corriger. On est rentré dans une bataille. C'était la guerre sur le terrain. On ne s'est pas laissé marcher dessus. On l'a vu aux rebonds. Ils en ont pris 8 offensifs avant le repos, et seulement 5 après. C'est surtout la bataille qu'on a gagné en deuxième période ».