PSG : Il lâche un énorme indice sur l'avenir du Qatar
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Il y a quelques mois, QSI a ouvert le capital du PSG au fonds d'investissement Arctos qui a récupéré 12,5% des parts du club de la capitale. Une annonce qui avait semé le trouble sur l'avenir du Qatar à la tête du PSG. Cependant, Alastair Seaman, directeur général d'Arctos, assure que les Qataris ont encore de grandes ambitions pour le club parisien.

Depuis quelques mois, QSI n'est plus seul dans le capital du PSG. En effet, le fonds d'investissement Arctos a racheté 12,5% des parts du club pour 500M€, devenant ainsi actionnaire minoritaire du PSG. Une situation qui a jeté un froid sur l'avenir du Qatar à la tête du club parisien, racheté en 2011. Mais Alastair Seaman, directeur général d'Arctos, annonce de grand projet à venir, laissant entendre que les Qataris sont encore loin du départ.

Arctos annonce la couleur pour les projets de QSI avec le PSG

« Ils ont dépensé 150M€ dans un nouveau centre d’entraînement qui n’aura pas d’équivalent. Le club jouit d’un bassin de population immense qui fournit le plus de talents au monde. Ces deux données combinées à l’envie d’investir pour avoir une équipe plus jeune et plus française rendent le projet intéressant financièrement », explique-t-il lors d'un colloque organisé par le Financial Times, avant de poursuivre.

«Très peu de clubs sont capables de réaliser cela»

« Il existe une forte possibilité de voir le PSG développer un nouveau stade moderne en banlieue. C’est en cours, on y travaille avec eux. Il y a trop de demandes insatisfaites aujourd’hui et ce projet peut régler le problème. C’est simple, en fait : il y a un seul club dans une ville comme Paris, qui est une des plus visitées au monde. Cela a permis que leur marque devienne plus grande que le championnat local. Très peu de clubs sont capables de réaliser cela », ajoute Alastair Seaman.

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