L’atout de l’OM révélé avant le choc ?
Thomas Bourseau

L’OM joue sa saison ce jeudi soir. En effet, distancés en championnat pour les places qualificatives en Ligue des champions, l’Olympique de Marseille peut valider son ticket pour la C1 grâce à un sacre en Ligue Europa. Opposés à l’Atalanta en demi-finales, les hommes de Jean-Louis Gasset savent être attendus. Leonardo Balerdi craint le club bergamote, mais peut compter sur le soutien de l’Orange Vélodrome.

Leonardo Balerdi (25 ans) va boucler sa quatrième saison à l’OM. Se pourrait-il qu’elle se finisse en apothéose avec un sacre en Ligue Europa 20 ans après l’échec de l’Olympique de Marseille en Coupe UEFA ? Le défenseur argentin y croit quand bien même le premier obstacle qui se met en travers de sa route est un gros morceau à ses yeux.

«L'Atalanta vient d'éliminer, pour moi, l'un des candidats»

Pour Relevo et d’autres médias, Leonardo Balerdi a été invité à s’exprimer sur l’Atalanta, adversaire de ce jeudi soir de l’OM dans le cadre de la demi-finale aller de Ligue Europa. « L'Atalanta vient d'éliminer, pour moi, l'un des candidats (Liverpool) et je pense que ce sera un match difficile pour nous parce que nous terminons à l'extérieur et que cela a une grande influence. Ils jouent un peu comme nous l'avons fait l'année dernière, en 1 contre 1, ils pressent beaucoup. Je pense que tous les adversaires peuvent battre n'importe qui. Il n'y a pas de favori, mais la Roma et Leverkusen ont tous deux des joueurs de haut niveau. Mais pour gagner, il faut être meilleur que tout le monde ».

«Maintenant au Vélodrome, chaque fois que je vais jouer, il y a 65 000 personnes, c'est incroyable»

Au cours de son entretien avec le média ibérique en question, Leonardo Balerdi a cependant tenu à souligner l’importance de l’Orange Vélodrome pour la première manche de ce bras de fer des titans pour une place en finale à Dublin le 22 mai prochain. Invité à comparer la ferveur sud-américaine à celle présente à l’Olympique de Marseille, le défenseur de l’OM n’y est pas allé par quatre chemins. « On dit qu'en Europe, on ne vit pas les choses de la même manière, mais dans les clubs et les stades où je suis allé, on vit les choses de la même manière. J'étais à Dortmund et maintenant au Vélodrome, chaque fois que je vais jouer, il y a 65 000 personnes, c'est incroyable. Personnellement, cela m'apporte quelque chose de plus, quand vous voyez tous les fans et les gens qui viennent, cela vous apporte quelque chose de plus. Ils donnent une partie de leur salaire, ils font beaucoup d'efforts pour venir vous voir, ça vous donne quelque chose en plus ».

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