Officiel : La NBA frappe très fort avant la saison 2023-2024
La rédaction

Fini les rumeurs ! Les différents propriétaires des franchises de la NBA ont approuvé mardi des changements de règles à compter de la saison prochaine, avec dans un premier temps l'instauration d'une sanction contre les simulations en cours de match mais également une extension de la possibilité pour les entraîneurs de contester une décision arbitrale. 

Aussi importante et puissante soit elle, la NBA reste pour autant toujours attentive à la façon d’améliorer son oeuvre. Après l’apparition de la NBA Cup  - compétition de mi saison - qui sera inaugurée dès 2023-2024, deux nouvelles règles, propres au déroulement du jeu et testées durant la Summer League, ont officiellement été adoptées mardi par le « Board of Governors », soit le conseil des propriétaires de la ligue.

Fini le flopping !

La première concerne les « floppeurs » qui seront pris la main dans le sac en train d’exagérer ou simuler un contact et qui seront désormais sanctionnés d’un lancer-franc de pénalité. Jusqu’à présent, la simulation n’était punie que d’un simple avertissement la première fois, puis par des amendes de 5 000, 10 000, 15 000 et 30 000 dollars à chaque rappel à l’ordre supplémentaire, avant des matchs de suspension à partir de la sixième fois. La NBA espère ainsi se montrer plus dissuasive.

Nouvelle règle en faveur des coachs de la NBA

Le deuxième point de règlement vient offrir un peu plus de poids aux coachs puisque ces derniers bénéficieront d’un deuxième « coach challenge » si le premier s’avère gagnant. Apparu lors de la saison 2019/20, le « challenge » permet aux entraineurs de contester certaines décisions arbitrales. Chaque coach ne possède qu’un seul challenge par match et ne peut le prendre que s’il lui reste un temps-mort. Si son « challenge » est gagnant, il garde son temps-mort. S’il est perdant, il le perd. Mais à partir de la saison prochaine, ils auront la possibilité de récupérer un deuxième challenge si le premier est réussi. Une bonne manière de récompenser les coachs qui ont l’œil et d’atténuer les conséquences des erreurs d’arbitrage. À noter qu’il n’y aura en revanche pas de troisième chance. Voilà certainement de quoi ravir les différents entraîneurs de la NBA.

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